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textes erotiques

13 janvier 2014

La poulette de Bresse

 

(Courrier faisant suite à un contact ''MEETIC'' originaire de Bourg en Bresse)

Aux portes de Lyon, quoi de plus naturel que d’aller chercher dans nos belles campagnes environnantes de belles poulettes bressanes.

Elles n’ont rien à voir avec nos poulettes des villes qui, agglutinées les unes sur les autres dans de petits espaces, n’ont pas développées des pratiques dignes du ''label rouge’’.  

La Bressanne, bien dodue, aux formes idéales, possède un équilibre parfait entre des cuisses rebondies et une poitrine généreuse, une peau dorée, une chair ferme, …. L’épicurien que je suis en raffole.

Cependant avoir entre les mains une si belle et si généreuse vollaille n’est pas un tout, encore faut il savoir l’entreprendre.

Suivez donc cette recette ancestrale :

huiler la peau abondement, ne pas hésiter à malaxer les extrémités dodues afin de les attendrir, puis ficeler fortement la bête comme si, encore vivante, elle voulait se débattre, résistez à vos désirs les plus bestiaux en l'enfournant  de la farce en écartant les chairs d’un geste précis et sec, ne pas hésiter d’aller aux fond des choses, bien bourrer.

Petit rappel nécessaire pour la fabrication d’une bonne farce : mélanger votre hachis à des morceaux de porc (qui sommeille en vous), émiettez savamment votre baguette bien sèche, rajoutez une gousse d’ail voire même votre vieil oignon, mouillez le tout d’une bonne giclée de votre lait naturel, battez un œuf et surtout pétrir le tout de longues minutes, soyez généreux … on ne malaxe jamais assez, les poulettes de Bresse sont gourmandes de ce genre de traitement.

Enfournez le tout dans un four bien chaud (température idéale 37,2 le matin), arrosez régulièrement tout au long de la cuisson les zones les plus sensibles par des caresses régulières et douces, vous pouvez même lui glisser des mots doux au creux du lèche frites, la Poularde adore çà  …

Faire durer la cuisson le plus longtemps possible (selon vos capacités), sachez qu’avec une préparation inférieure à ½ heure vous n’obtiendrez pas l’excellence que vous pouvez espérer avec un article ‘’Label Rouge’’.

Si c’est régulièrement votre cas, inutile de gâcher une si belle marchandise, rabattez vous sur une poulette des villes élevée en batterie, moins regardante.

Le mode de dégustation est propre à chacun, cependant je vous préconise le mode ‘’goulûment’’ que j’aurais le plaisir de vous expliciter lors de la prochaine séance.

 

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11 décembre 2013

Tu es rentrée du bureau exténuée de ta semaine de

 Tu es rentrée du bureau exténuée de ta semaine de travail, tu as avalé rapidement le repas léger que je t’avais préparé et tu es partie faire une sieste réparatrice.

Il est 16 heures, je m’approche lentement et j’entend ta respiration apaisée, je  me couche silencieusement à tes cotés, je pose ma main furtivement sur tes fesses, pose un petit baiser sur tes cheveux, ma main glisse le long de tes jambes, plus qu’une caresse il s’agit d’un effleurement, tu sursautes, je remonte le long de ton dos, la pression se fait plus forte le long de ta colonne vertébrale, j’applique de tendre bisous sur tes épaules, tu t’étires de plaisir.

Je colle mon corps au tien, j’embrasse avidement ton dos, tes épaules, ma main gauche continue sa découverte : fesses, dos, cuisses, rien n’y échappe. Je plaque mon bas ventre contre toi. Tu ondines sous mes caresses.

Tu lâches un baillement, tout ton corps se réveille sous mes doigts expert, tu t’étires de nouveau et d’un geste déterminé tu jetes ton bras gauche entre nos corps soudés et attrapes avidement mon sexe, 3-4 grosses pressions sur mon gland avant d’entamer un va et vient vif et déterminé.

Le jugeant à ton goût, tu relèves ta jambe gauche et sans hésitation tu l’introduis en toi, ta chatte est trempée, chaude bouillante, je reste inactif pour te faire languir, ta main gauche attrape mes fesses et m’ordonne de te pilonner, tu gémis, tu ronronnes, tu te fais chatte en chaleur.

Je te besogne, je claque mon ventre contre tes fesses, j’imprime un rythme effréné, je te secoue, je sais que tu adores çà, à la limite de la bestialité et subitement tu rejetes les draps, tu te retournes, me plaques sur le dos, tu viens te positionner sur moi, assise, les pieds bien à plat.

Ta main droite frotte ta vulve trempée et tu glisse ma bite le long de tes lèvres brulantes.

Un mouvement lent et précis, court, très court, uniquement pour que mon prépuce avale la porte de ton coffre fort, 5-6 allers retours, tu sais que çà me rend fou, puis n’y tenant plus tu te lances dans une folle chevauchée, tu gémis, tu halètes.

Tu remarques que mon corps se fige et là comme pour me remercier de cet aussi agréable réveil, tu te retires et m’offre ta bouche, tu sais que j’adore quand tu avales toute ma semence.

Tu attrapes la base de ma bite, la secoue de droite à gauche, ta bouche juste au dessus, ouverte, baveuse, tu fais claquer mon prépuce contre tes parois buccales.

Je jouis et t’avale tout. Jamais personne ne m’a jamais ‘’barboté’’ ainsi. C’est  sublime  

11 décembre 2013

l'effet SCHAMALLOW

L’affaire nommée ‘’L’orgasme du Schamallow’’ aurait dû restée secrète a été dévoilée par une certaine ‘’A’’ ….. et mérite quelques explications.
En tant qu’envoyé spécial de ‘’la gazette des S... '' je tiens à informer nos chers lecteurs de certains éléments qui me semblent primordiaux pour la morale de notre association.

Non, il ne s’est rien passé qui puisse porter préjudice aux bonnes mœurs et ce malgré certains petits cris stridents entendus çà et là tout au long de l’après midi.
Je tiens à préciser également que la venue impromptue d’un voisin dénommé ‘’C’’ n’a aucun lien avec ces réjouissances sonores.

Les faits, rien que les faits ….
Un invité anonyme dont je tairais le nom à apporter dans sa besace un paquet de Schamalow.
Ce fait anodin a trouvé son paroxysme quand notre hôte que je dénommerais ‘’R’’ par souci de confidentialité a proposé de les faire griller sous la chaleur du feu de bois.

Est-ce l’arôme ‘’Tagada’’ de ces dits Schamallow ?
Est-ce l’ambiance simple, amicale mais si attendrissante offerte par notre hôte ?
Est-ce la vue chaleureuse et apaisante des flammes du feu de bois ?
Est-ce la vision si …. (Je l’avoue, j’ai été moi-même très ému par cela) … attendrissante, fondante, …. J’ose même dire …… sexy …. de voir ce petit cube rose …. Fondre …. Se déformer …. S’étirer …. Crépiter … se coller, j’ose dire … enlacer, cajoler, ne faire plus qu’un avec le tuteur en bois sur lequel celui était harponné
Ces éléments ne me semblent pas à eux seuls être responsable, je continue mes investigations.

Est-ce la vue de certains protagonistes, le fameux ‘’R’’ mais aussi ‘’J.L’’ qui ont a de nombreuses reprise pris place devant le tison ardent et tendu leur canne afin de la faire léchée par les flammes ?
La position de ceux-ci ? assis sur une chaise, corps en avant, mains fixes sur leur canne en bois, l’œil alerte ….. les petits mouvements rotatifs, réguliers mais précis….. d’une sensualité folle ……. l’œil expert …. Afin de suivre la montée en puissance de leur sadique entreprise … une attente languissante, harassante ….évocatrice du plaisir attendu

Et puis le choix de la victime, s’approchant furtivement de ‘’A’’, ‘’S’’, ‘’F’’, ‘’MC’’ et d’autres dont je tairais le nom, tendant leur trophée et proposant ….. la volupté.
Car oui, on la tient la véritable raison de tous ces alternoiements
Volupté, le mot est lâché, quel délice !!! Quelle jouissance de sentir le petit cube rose fondre sous la langue !!! quel parfum en bouche !!! quel mélange de goûts : mi sucre, mi cramé par les braises !!! quel délice de se lécher les doigts souillés par quelques résidus collants, suaves, dégoulinants.
Certaines avaient même le menton ou la joue souillés …..
Et les cris de plaisir ……vous les décrire, je ne peux plus, je les ai encore en tête ….. mais aucun mot ne me vient …… trop d’émotion car je suis encore tout retourné par cette expérience qui a marquée à tout jamais ma vie et que je souhaitais vous relater.

11 décembre 2013

je me souviens .....

Je me souviens,

je me souviens de ce weekend  de mai passé à Fontainebleau, à l’hôtel de ‘’L’aigle noir’’.

Je me souviens d’avoir été taquin, de ne t’avoir donné qu’un minimum d’informations, afin d’exciter ta curiosité. Je me souviens du charme que tu as employé pour en savoir plus, en vain.  ‘’Départ à 10 heures, fait toi belle’’ était ma seule indication.

Je savais que tu allais te pomponner pendant des heures, que j’aurais à t’attendre, histoire de te faire désirer.

Je sais que tu apprécies ces moments si délicieux où l’imaginaire prend le dessus …

Je me souviens de tout ….. comme si c’était hier…. de ta sortie de la chambre

 ‘’Ouah, qu’est ce que tu es belle’’ la gorge nouée, stoïque devant toi, c’est la seule phrase que j’ai pu prononcer.

Tu portes le tailleur Kenzo que tu lorgnais dans la vitrine des Galeries Lafayette depuis longtemps, un chemisier en macramé couleur pêche, les collants Woolford que nous avons achetés ensemble, le collier de perles que je t’avais offert pour ton anniversaire.

- ‘’Voyons, voyons, jeune homme, pas de temps à perdre, la route nous attend’’

Et en te dirigeant vers le dressing, d’un pas chaloupé, tu passes sensuellement ta main sur mon entre-jambes  ….  bien évidemment, tu as remarqué l’effet que tu me procures.

 

Lorsque je me suis arrêté devant l’hôtel, face à la magnifique façade en grès, j’aurais aimé voir l’expression de ton visage … ta réaction quand le voiturier a ouvert la portière …

mais hélas tu me tournais le dos.

Toutefois j’ai encore en mémoire ta petite frimousse ébahie quand nous avons traversé la cour intérieure … tes yeux écarquillés à la réception, ton sourire crédule quand l’hôtesse dit :

- veuillez accompagner Monsieur et Madame B……i dans la suite STENDHAL

Je me souviens de ta réaction, tu passais d’une pièce à l’autre en disant sans cesse ‘’tu es fou, tu es fou…’’

En sortant de la salle de bain, tu t’es jetée à mon cou, j’ai encore le goût de tes lèvres  … et tu m’as dit  ‘’laisse moi dix minutes, le temps de nous faire couler un bain, mon amour’’

La baignoire coquille est magnifique et immense, tu as allumé les bougies multicolores aux senteurs si subtiles. Tu as mélangé les bains moussants et huiles essentielles et tu m’attendais dans une montagne de mousse.

Je t’ai rejoins avec deux coupes de champagne, nous trinquons en prenant  le temps de jouir de ces si délicieux moments qui précèdent l’amour.

Tes mains, si douces, caressent mes pieds, mes chevilles, mes mollets …

Tes pieds frôlent  mon torse, mes hanches, mon bassin …. s’aventurent sur mon sexe, l’enlacent  … puis tes mains prennent  le relais …. fière du résultat … tu te lèves brusquement et tu viens t’asseoir sur moi en me tournant le dos…. tu t’empales sur mon sexe raidi …  je ne peux étouffer un gémissement … je caresse tes hanches, tes seins, ton sexe. Tu  contractes ton vagin, balances ton bassin … caresses mes testicules ….. le sang cogne fort contre mes tempes … mon souffle est court, tu sens que mon orgasme est proche alors tu t’accapares ton bouton d’amour …. frénétiquement tu te caresses … je sens ton corps se crisper, tes muscles se tendre, tu lâches un long râle, ton plaisir déclenche le mien  … c’est divin ….   je me noie dans les eaux de ton corps.

Nous restons ainsi de longues minutes, j’entreprends de te savonner, je me plaque contre ton dos, te masse avec mes mains, mon torse, mon corps.

Tu inverses les rôles puis sort de l’eau et m’accueille avec une serviette chaude au blason de ‘’L’aigle Noir’’.

 

Avant de déjeuner au restaurant gastronomique, nous visitons les installations de l’hôtel.

Tu as adoré le style napoléonien de l’édifice, l’escalier monumental, la bibliothèque, tu as proposé de s’y détendre quelques instants et j’ai souri quand tu as rajouté ‘’bien sur, si on trouve le temps’’. Tu piaffais quand nous sommes rentrés dans la salle de sport et tu n’as pu t’empêcher d’essayer quelques agrès.

Et que dire de ta réaction quand nous sommes entrés dans le sauna

- ‘’ humm, faut absolument qu’on le teste ‘’ avec un sourire en coin qui voulait dire pleins de bonnes choses et puis devant la piscine ‘’ mais je n’ai pas amené de maillot ‘’

- t’inquiète mon amour, j’ai tout prévu

- tu sais que je t’aime toi, m’as-tu répondu

Le restaurant était quasiment vide.

Une coupe de champagne avec une larme de myrtille pour nous requinquer puis rosace de saint jacques truffées, côte de bœuf sur le grill et un fondant aux 2 chocolats, le tout accompagné d’un Châteauneuf du Pape 1988 et d’un Margaux Château d'Arsac 98.  Un vrai régal.

Pour digérer quelques brasses à la piscine (surtout toi) puis quelques mouvements dans la salle de musculation (surtout moi).

Avant de remonter dans notre suite, je t’ai emmené au parking et comme je le pressentais notre vieille golf de 14 ans d’âge était garée entre une Ferrari Testa Rossa et une Porsche 911, même notre ‘’titine’’ a eu droit à son week-end ‘’Palace’’, ce qui nous a bien fait rire.

 Dans l’ascenseur, tu affiches un sourire coquin, j’aime tant ce mélange d’amour et de désir brut qui nous lie, cette fusion qui témoigne de notre grande complicité.

Est-ce la présence du liftier ? mais tu ne peux t’empêcher de m’attraper les lèvres pour un divin baiser digne d’un film hollywoodien.

A peine entrés dans la chambre, tu te jettes à mon cou, tu me plaques contre le mur.

Tout en me regardant droit dans les yeux, tu défais ma ceinture, descends ma braguette, prends mon sexe à pleine main. La brutalité de tes mouvements de va et viens démontre ta vive excitation … tu t’agenouilles, approches ta bouche de mon gland tout gonflé …. tes mouvements se font plus doux …  tu déposes des petits baisers … ta bouche s’empare goulument de mon gland, tu essayes de l’avaler en entier …. tu alternes les mouvements lents et rapides … les va et viens et les gorges profondes.  

Passif jusque là … j’empoigne ta tête et accompagne tes mouvements. Je sens ta bouche m’aspirer, ta langue tournoyer autour de mon gland

- arrête je vais jouir

Pour seule réponse, tu accélères le mouvement en rajoutant des petits coups de langue et de petits suçons sur le prépuce. Mes jambes flagellent, mes doigts se crispent sur ta tête …. tu gobes mon sexe….

C’est divin … tu bois ma semence …. je prends cela pour une offrande.

 

Le temps de prendre une douche, tu refais ton maquillage, je m’approche de toi, me colle à ton dos, t’embrasse le cou, les épaules, le lobe de tes oreilles …  mes mains ne peuvent rester inactives, j’effleure tes hanches, ton ventre, caresse tes fesses … ma langue parcoure tes omoplates, descend le long de ta colonne vertébrale, visite chaque centimètre carrée de ton corps … tu accompagnes mes mouvements, ton corps danse sous mes doigts, tu t’abandonnes sous mes lèvres.

Tu te retournes et m’embrasses … ah tes baisers … de vrais moments de bonheur, des moments de communion, tes lèvres si douces et quelle sensualité tu dégages !!!

Je te prends par la taille, te soulève et te repose sur le  lavabo … nos langues n’ont cessé de se nouer … je poursuis en bisouillant ton visage, tes joues, ton front, ton nez, revient sur ton cou. Mes mains  parcourent ton dos, tes épaules, ta poitrine, tes fesses, le creux de tes cuisses … massent, soupèsent tes seins, tes tétons durcissent immédiatement.

Ta respiration est haletante, ton corps épouse mes gestes, tu écartes les cuisses, tu t’offres totalement … je te fais languir, mes doigts remontent sur tes seins, ma langue titille tes tétons et de la main droite sans prévenir je frôle ton clitoris … tu sursautes, tu plaques ma main sur ton ventre avec autorité, un doigt parcours ton sillon, tu es trempée ….  puis deux, puis trois, tu te tortilles … mes phalanges s’activent … mouvements verticaux, puis rotatifs … ton sexe avale ma main … je ferme mes doigts à l’intérieur de ton vagin, les mouvements de mon poignet se font bestiaux …. j’explore ton antre intérieur et recherche la zone qui te fera jouir comme nous les hommes …. tu te figes ... tes muscles se tendent  …. tu rejettes ta tête en arrière, balances en avant ton bassin … tu attrapes mon bras et accentue encore le mouvement …. et dans un long râle  tu inondes mes doigts, tu éjacules comme un homme.

 

Epuisés tous deux, je sais qu’il faut alors te laisser seule afin que tu te remettes de ces émotions, j’en profite pour m’allonger quelques instants.

Le temps de reprendre mes esprits, sur le lit impérial,  ai-je dormi ? tu n’es plus à mes cotés.

De légers bruits proviennent de la salle de bains.

Tu ressors avec un ensemble que je ne te connaissais pas, robe noire courte, top rouge en dentelle, des bas-couture, et fait rarissime, des talons aiguille.

Je t’imagine vêtue du magnifique trois pièces ‘’Diva’’, point d’orgue de ma dernière collection de lingerie, que j’ai créé en ton hommage.

Qu’est ce que tu es belle !!! j’ai vraiment de la chance de t’avoir tous les jours à mes côtés. J’aime ton corps, tes courbes, tes fesses, oui surtout tes fesses …. ta poitrine … petite mais ferme …. et puis ta peau, si douce, ton grain de peau qui se marie si bien avec la texture de mes doigts …. te toucher … simplement te toucher est déjà un vrai bonheur !!!

Je file sous la douche et vais, moi aussi, tenter de te faire honneur.

Pantalon beige à pinces, polo Lacoste, blazer bleu marine.  Nous partons pour une petite ballade dans Fontainebleau avant de retourner dîner au restaurant de l’hôtel.

 Salade de rougets grillés, poêlée de langoustine au Whisky et salade fruits rouges pour toi, soupe de moules au safran, cuisses de grenouilles sautées à l’ail et baba au rhum aux fruits frais pour moi, le tout arrosé d’un Pouilly Fuissé domaine Michon 2000.

 

La nuit est douce, les étoiles de tous leurs éclats, enlacés sur le balcon de notre chambre, je vis un pur moment de bonheur dans tes bras.

Un groupe de badauds s’est regroupé devant l’entrée du restaurant. Commentaires sur la carte des prix, leurs voix résonnent fort dans la nuit noire. Quand subitement, tu lâches notre étreinte pour me faire face, m’offres un fougueux baiser, ta main droite plongeant sur le haut de mon pantalon. Tu me caresse quelques instants, tu t’accroupis, descend ma braguette, plonge ta main dans mon boxer noir … sort mon sexe gonflé et dur de son étui cotonneux. Petits mouvements de va et vient, décalottant bien le gland à chaque mouvement, tu le prends en bouche, tournoyes ta langue, me mordilles.

Tu te relèves, me fais face, m’embrasses en m’affligeant une folle masturbation, tes yeux brillent, un léger sourire aux coins de tes lèvres.

Je te prends, que dis-je, je te traîne à l’intérieur de la chambre, te jette sur le lit, soulève ta robe … et ne peux m’empêcher de jouir quelques instants de cette magnifique vue.

Porte-jarretelles bandeau en dentelle noire de Sienne, seins magnifiés dans ce soutien gorge pigeonnant, bas-couture noir satiné … et que dire de tes fesses rebondies …

je sais que tu aimes cette position bestiale, t’offrir ainsi, soumise à mes yeux, à mon bon vouloir,… j’écarte la ficelle de ton string … mon gland se pose sur l'ouverture de ton vagin tout humide et d’un coup sec je m’enfonce en toi en faisant claquer mon ventre contre tes fesses… je te besogne sauvagement, tu creuses les reins, tu ondules du bassin, tu accentues mes mouvements,  tes gémissements m’indiquent que tu es proche du bonheur ... Je me retire et te fais basculer sur le ventre. J’approche mon gland de ta fente trempée, le fais glisser le long de ton sillon, lentement, effleure ton clitoris.

Tu me cries ‘’ arrête et baise moi’’. Je fais mine de franchir la porte de ton coffre fort doré, j’introduis le bout de mon gland, tes chairs se dérobent immédiatement …2-3 mouvements de vas et viens et sans prévenir je me retire et plonge à quatre pattes sur ton sexe.

Ma langue se plaque contre ta gorge béante, s’y introduit bien à fond, titille tes lèvres ... tu m’ordonnes de continuer, tu m’encourages, tu hurles ton plaisir ... j’happe ton clitoris, un léger balayement de ma langue suffit … tu exploses, ton bas ventre est pris de tremblements. Ma tête est prise en sandwich entre tes mains qui me collent ton sexe luisant de plaisir et tes cuisses tressautant de plaisir. Je persiste, ma langue, inerte, reste plaquée sur ton bouton d’amour. Tu reprends ton souffle.

Puis insidieusement, un nouveau un léger mouvement de langue, puis un autre. ‘’Oh non, arrête, …. çà recommence’’ … puis encore un autre, puis plein, plein d’autres …. tes cris brouillent le silence de cette nuit de pleine lune …. ma langue est toujours plaquée contre ta vulve … ma main droite caresse mon sexe, je me fais encore plus durcir …  et d’un bond je reviens vers ton antre et m’introduit fougueusement en toi. Quelques viens va et vient suffisent, tu me hurles ‘’oh oui, viens, viens avec moi’’  … ton corps est pris de tremblement, ton vagin se contracte … je répands tout mon amour en toi.

Epuisé, nous restons, inerte de longues minutes avant de passer sous la douche.

Tu t’endors, je vais fumer une cigarette sur le balcon. Les badauds se sont évanouis, la place est vide. La ville semble somnolée. Je te fais un bisou le front avant de te rejoindre dans les bras de Morphée. Je t’aime.

Le soleil traverse les larges rideaux de soie rouge en ce beau matin de mai.

Mon corps engourdi se réveille petit à petit. Je sens ta main se poser délicatement sur mon ventre, ton corps chaud se rapproche du mien. Tu déposes un baiser sur mes cheveux, mon front, mes yeux, mes lèvres …. Je gémis, tu souris, ta main glisse sur mes hanches, mes fesses puis sur mon sexe, tu l’entoures de tes doigts.

Je tends mon bras vers tes fesses, les caresse, je me faufile entre tes cuisses, pose ma main sur ta douce toison semi rasée, je me retourne et te fais face, t’enlace, tu es bouillante.

Mes doigts s’immiscent entre tes lèvres, tu pousses un léger soupir,…’’humm tu es trempée’’

je retire mon doigt pour le porter à ma bouche, je sais que cela t’excite de me voir faire çà, je replonge mon index, contourne ton clitoris, l’effleure, tu as le souffle coupé.

Tu me renverses sur le dos, me chevauches …. frottes ton sexe contre le mien, tu sais que cela me rend dingue … tes lèvres humides glissent le long de ma hampe … ‘’faire l’escargot’’ comme tu dis si bien …. ta main empoigne mon sexe, le positionne devant l’entrée de ta grotte, lentement tu l’enfonces dans ton ventre …. J’adore quand ton sexe avale le mien, quand tu inverses les rôles, quand tu me fais l’amour, quand tu me baises sauvagement.

Tes tissus trempés s’écartent autour de mon pénis …. la chaleur et la douceur de ton ventre…. tu t’empales et t’appuies sur mon torse …. tu ondules, ton bassin s’active.

Mes mains se posent sur tes fesses, je les caresse, j’accompagne tes mouvements …. C’est exquis, je suis pris de frissons …. Tu accélères le mouvement, de plus en plus vite, tu gémis, me dis que tu vas jouir, je sens la sève monter dans mon ventre, mes muscles se tendent

Nous partons ensemble … tu cries ton plaisir, tu t’affales sur moi, nos lèvres se joignent pour un long baiser.

 

Rien de tel qu’un bon brunch pour entamer la journée, nous descendons en tenue de sport car ensuite tu souhaites profiter des installations de l’hôtel.

Décidément, ils assurent à ‘’l’Aigle Noir’’, le brunch est royal .

Hormis les produits habituels, tu t’es régalé avec les pancakes, muffins aux myrtilles, brouillade d’œuf aux truffes, assiette nordique et fruits frais.

J’ai particulièrement apprécié le pain perdu (qui m’a rappelé mon enfance), le  saumon fumé, le plateau de fromage et le tout arrosé d’un Saint Nicolas de  Bourgueil et de champagne.

Un petit coup d’œil sur la presse …. Faut pas se couper du monde …. L’O.L. a encore gagné …. Trop fort ces lyonnais …. A notre tour de faire du sport, direction la salle de sport.

Rameur, fonte, vélo, re-fonte, …. C’est pas parce que j’ai un corps de rêve que je ne dois pas l’entretenir   lol …. Et puis après ces bons petits repas !!!

Tu m’abandonnes assez vite pour aller piquer une tête, je te rejoins, du moins je m’approche de la piscine, te regarde nager quelques instants, puis file au sauna, car l’eau ce n’est pas mon élément, faire des longueurs … çà m’ennuie.

 

Le sauna est petit et presque plein.

Que des femmes, une famille, 3 générations … maman par ci, mamie par là, et vas y que je parle fort ….. apparemment c’est l’anniversaire de mémé, elle doit avoir au moins 80 ans !!! … çà me saoule ….  envie de partir …..  tu entres …. plus de place !!! ….

La vieille dame dis ‘’on s’en va Madame, prenez ma place’’ …. Ouf ….

Je m’attends à ce que tu me rejoignes, non, sans dire un mot, comme si tu ne me connaissais pas, comme si tu étais seule, tu ôtes ton maillot, démêles tes cheveux, essuies ton corps de rêve …. Et t’installes sur la paillasse d’en face.

Je devine ton petit jeu …. et m’attend au pire !!!

Assise, tu feins de t’essuyer à nouveau … puis tu commences à te caresser les seins, le ventre, les cuisses, … et puis d’un saut tu rejoins ma paillasse

- pousse toi au fond au fond et regarde, t’as pas le droit de bouger

Les jambes recroquevillées, honteusement ouvertes …  des deux mains tu écartes les lèvres en grand, ton sexe est béant…

tu rajoutes au geste la parole … tu commentes, tu me demandes si je vois bien, si j’aime te voir ainsi, t’exhiber rien que pour moi, si je sens ton excitation … tu introduis ton majeur …. tu me dis que tu imagines que c’est mon sexe …. qui force les portes de ton antre secrète … qui fouille tes chairs intimes … que tu es toute trempée.


Quand ton doigt revient sur ton clitoris …. ‘’Là c’est ta langue, ta langue experte qui connaît chaque recoin de mon sexe … non, ne vas pas trop vite, pas trop vite, Emilio … j’aime quand tu vas doucement … oui là, sur le capuchon, il est sensible mon capuchon’’,

Ton exhibition me rend fou … tu redescends sur les grandes lèvres … introduis deux doigts, puis trois … Tu me supplies, le souffle court

‘’Prends moi, oui prends moi, baise moi, plus vite, plus fort …. bien au fond’’

De ta main gauche, tu caresses ta poitrine, ce geste presque anodin que je connais tant, prouve que ton plaisir est au paroxysme, que tu es prête à jouir …

Tu m’ordonnes ‘’oui branle toi, branle toi plus fort en me regardant … pars, pars avec moi’’.

Je n’en peux plus, je m’approche de toi et éjacule sur ton ventre …. Tu m’arraches mon sexe des mains et finit d’en extraire toute ma semence … tu introduis tes 2 doigts souillés en toi … reviens sur ton clitoris … fougueusement ….  quelques mouvements de vas et viens, tu gémis … tu t’actives, accélères le mouvement, ton plaisir s’intensifie, tu balances ta tête de façon désordonnée … ‘’prends moi’’… tu empoignes ma taille des deux mains et m’ordonnes d’aller plus vite, plus fort, ta jouissance perdure … je m’écroule sur ta poitrine, tu me demandes de rester en toi

Tu me demandes si j’ai aimé ton petit scénario quand des bruits sourds venant de l’extérieur nous contraignent à abandonner ce cocon d’amour aux parois boisées.

Tu m’avais promis de tester le sauna ….. j’adore tes expérimentations !!!

 

Nous rejoignons notre chambre. Tu branches la radio sur Jazz FM et me rejoins sur le lit avec un flacon d’huile à l’amande douce. Tu masses énergiquement mes épaules, ma nuque, mes bras, mon dos  … tes mains huilées se font plus douces …tu m’honores de petits bisous tendres … tu  t’allonges sur moi … immobile, de longues minutes,  je sens ton cœur battre, sereinement, je partage ton bonheur, ta quiétude … tu reprends tes caresses … mes jambes, mes fesses, mes pieds, luisent sous l’effet de la lotion … tes doigts dansent sur ma peau, c’est sublime, je ne suis plus que sensations… je suis tel Aladin sur mon tapis volant, je plane… je me liquéfie sous tes doigts, tu colles ta tête sur mes épaules pour un long câlin  … la terre peux s’arrêter de tourner, je remercie les dieux de t’avoir tous les jours à mes côtés, je t’aime … à la folie.

Combien de temps sommes nous rester ainsi ? une éternité … tes petits bisous sur mon torse, ta main posée sur mon ventre, à deux doigts de mon sexe me font redescendre de mon nuage … tu bisouilles mon téton, le gobes, fais flotter ta chevelure  sur mon torse, ta main se déplace, tu embrasses mon cou, mes joues, mon menton, mes tempes, mon front, poses un bisou sur le coin de mes lèvres, puis tu attrapes ma bouche pour un baiser fougueux …

Tu me chevauches, ondules du bassin,  tu approches ta poitrine de ma bouche, je gobe tes seins, tes tétons se dressent sous ma langue, mes mains caressent tes formes sublimes, tes fesses, tes hanches, ton dos …. mes doigts courent le long de ta colonne vertébrale …  je te retourne, je mordille et avale tout ce qui se présente à moi, ma main glisse sur tes cuisses, tu ouvres tes jambes en grand et tel un lasso tu m’agrippes à toi, je sens tes effluves tremper mes bourses … je me redresse, je veux te voir … qu’est que tu es belle ainsi … tu rayonnes, les yeux à demi clos, les lèvres pincées, tous les pores de ta peau frémissent sous mes doigts ….  tu es ‘’sensualité et invitation à l’amour’’ … je me sens fort et beau … je fais glisser mon sexe le long de ton sillon d’amour et je m’introduis en toi lentement, très lentement, je m’enfonce sans aucune résistance …. Sans bouger, bien installé au fond de ton antre, je t’offre mes lèvres pour un nouveau baiser fougueux … que c’est bon … je contracte mon sexe, ton vagin sursaute … tu me réponds par une contraction de tes muscles vaginaux… nos sexes emboitées semblent communiquer … mes tempes me brûlent, je sais que je ne pourrais résister longtemps … j’empoigne tes jambes et les reposent sur mes épaules, ton bassin collé à mon ventre … tu aimes cette position où la pénétration est maximale … je m’engage dans une folle chevauchée … je claque mon ventre contre tes fesses, mes testicules contre ton anus … nous partons ensemble dans des râles sourds, nous nous vidons de toutes nos effluves intimes … tes ongles griffent mes fesses, je m’écroule sur toi, le bassin collé au tien, ma langue fouille ta bouche pour un long et savoureux baiser .. que ce moment de pur bonheur dure des siècles …  mon sexe encore dur semble approuver … je glisse lentement le long de tes chairs, tes lèvres épousent mes mouvements, s’écartent et aspirent mon gland … me sucent comme ta bouche lorsque tu m’honore d’une gorge profonde …


je sens une nouvelle vague m’envahir … tes mains empoignent mes fesses et m’impriment un mouvement de va et viens désordonné … tu hurles ton plaisir, ton corps est couvert de soubresaut … pris dans un rodéo endiablé, je m’active en toi  … forte sensation de chaleur, la tête me tourne, ma vue se trouble … et je m’écroule en toi.

Cette seconde jouissance … intérieure … cérébrale … sans éjaculation …

je m’en souviens encore aujourd’hui …. et m’en souviendrait certainement toute ma vie.

Rien que de l’évoquer, des fourmillements m’envahissent …

 

et à vous, cher lecteur ou lectrice, cela vous fait le même effet ?

Vous narrez la fin de ce sublime weekend ?

Je ne peux m’y résoudre …  nous avons vécu d’autres merveilleux weekends, mais celui-ci le premier, reste le plus beau.

Et aujourd’hui, à l’aube de mes 80 ans … ma chère et tendre illumine toujours ma vie, notre amour est toujours aussi fort …. plus platonique, bien évidemment …

Nos baisers sont moins fougueux mais tous aussi tendres.

Je t’aime mon amour.

 

 

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